Résumé :
Alexandre a beau aimer se battre, il ne se souvient pas comment il s’est retrouvé sur ce lit d’hôpital, ni qui est cette Manon qui l’obsède.
Effrayée par ses nouveaux pouvoirs, Manon ignore comment les cacher à ses parents, les apprivoiser… et éviter Alexandre.
Quand les Ombres passent à l’attaque et qu’un nouvel élève arrive au lycée, la menace se précise.
Manon et Alexandre se rapprocheront-ils ou s’éloigneront-ils ?
Deux destins liés malgré les apparences…
Le premier tome de cette série à peine fini, je me lance déjà dans le tome 2. Même si l’histoire est simple et peu originale, on est vite pris par l’écriture d’Olivier Gay et par ses personnages réalistes et drôle. Le premier tome m’avait beaucoup plu mais mon avis est un peu plus mitigé pour celui-ci.
A la suite du premier tome, Manon peut toujours contrôler les couleurs du Spectre mais une nouvelle fait son apparition dans son esprit : le Noir. Dans ce roman, elle tente de comprendre sa nouvelle nature et ses nouveaux pouvoirs tout en le cachant à sa famille. C’est un tome de transition dans le sens où Manon subit le contrecoup de ce qu’il lui est arrivé dans le premier tome.
Les personnages me plaisent toujours autant que ce soit Manon ou Alexandre. Une nouvelle famille de mages venue des Etats-Unis fait son apparition, l’auteur ne s’attache qu’au personnage du fils aîné, Jordan, qui intègre la classe de Manon. C’est un personnage un peu en retrait qui prendra toute son importance à la fin du tome.
J’ai donc eu le sentiment qu’il ne se passait pas grand chose dans ce volume, je suis déçue d’avoir eu si peu d’élément à me mettre sous la dent ! Certes c’est un tome de transition et plus d’actions n’aurai finalement pas été réaliste mais j’aurai souhaité avoir plus d’informations nouvelles et d’évolution.
Heureusement les derniers chapitres bousculent tout et l’auteur nous laisse sur un tel rebondissement que l’on en veut plus. Je vais lire le tome 3 dans les semaines à venir.
Le Noir est ma couleur tome 2, d’Olivier Gay aux éditions Rageot (2014) – 300 pages
