Futuropolis va éditer un docu-fiction qui s’annonce passionnant. Fortune de mer raconte la réalité du remorquage en haute mer. Une réalité que connaissent bien Clément Belin et Costès, eux-mêmes marins.
Fortune de mer est celle de La Bourdon, un remorqueur d’assistance et de sauvetage en haute mer surpuissant. Il a été affrétée par l’État français pour assurer la sécurité du rail d’Ouessant. Alors c’est bien souvent le dernier espoir des navires en perdition au large de la pointe bretonne. Il existe d’autres unités de remorquage, à Boulogne-sur-Mer, à Toulon, mais pour tout le monde du sauvetage en mer, c’est la Bourdon, le fameux Saint-Bernard des mers !
Fortune de mer, en départ vers un gros coup
Des marins de la marine marchande composent l’équipage de La Bourdon et font sa réputation. Evidemment la personnalité charismatique de son commandant, Jean-Charles Bulros, n’y est pas étrangère non plus. Il a à son actif le sauvetage de centaines de cargos en perdition.
Un nouveau membre d’équipage rejoint le remorqueur dans Fortune de mer. Jonathan est un jeune lieutenant venu de Marseille. Il arrive à Brest pour prendre son poste sur la Bourdon. Il fait la connaissance de l’équipage, depuis le commandant jusqu’au bosco, un personnage haut en couleurs lui aussi.
Mais à l’heure de quitter le mouillage, il paraît que le commandant est sur un gros coup. Un navire gazier de 15 000 tonnes serait à la dérive. Dès lors, les négociations entre le capitaine du cargo et le commandant Bulros peuvent commencer
Clément Belin et Costès, sont tous les deux lieutenant. Ils livrent, de l’intérieur, un témoignage précis inspiré de la vie souvent bouillonnante à bord d’un remorqueur en mission
