Je ne pouvais pas finir l’année sans lire un Jirô Taniguchi, j’ai choisi La Montagne magique. Il me reste encore beaucoup d’œuvres à découvrir de cet auteur.
Résumé :
Contraint d’aller vivre chez ses grands-parents alors que sa mère doit subir une opération très délicate, Ken’ichi découvre une montagne impressionnante, qui éveille sa curiosité et alimente ses phantasmes. Ses promenades solitaires le mènent également au musée, ou il découvre une salamandre qui semble capable de parler. Elle lui propose un marché qui pourrait répondre à ses voeux les plus chers…
La Montagne magique : Enfance et poésie comme sait le faire Jirô Taniguchi
On retrouve tous les ingrédients chers à l’auteur dans cette BD. Des souvenirs d’enfance, un père absent, de la magie et de la poésie. Tout est présent dans La Montagne magique. C’est un joli conte mais il n’est pas mon préféré du genre.
L’auteur part souvent d’un souvenirs de son enfance pour ses histoires. C’est le cas de cette montagne magique et de ses tunnels souterrains. Pour le personnage de Ken’ichi et sa sœur la montagne et ses souterrains sont emplis de mystères et de légendes. Grâce à leur courage, ils vont aller au devant de ses légendes et découvrir la vérité sur cette montagne magique.
Le récit et les illustrations sont empreins de poésie et de tristesse mais il y a toujours un espoir à la fin de l’histoire. Malheureusement j’ai trouvé ce récit beaucoup trop rapide. Il y a également peu de nouveautés par rapport aux autres BD que j’ai pu lire de l’auteur. Mais cela restera toujours un plaisir de lire Jirô Taniguchi.
La Montagne magique, de Jirô Taniguchi
aux éditions Casterman (2007)
68 pages
