Résumé de l’éditeur :
Combat titanesque contre une équipe de super-gentils, malédiction mortelle, cours de tango et descente aux Enfers… Chance, Xiong Mao et Ombre ne s’attendaient certainement pas à cela en signant à l’université des héros ! Et dire qu’ils ne sont qu’en première année…
À l’heure où la rivalité entre l’école de Saint-Ange et la F.E.A.H. n’a jamais été aussi forte, ils vont non seulement devoir se battre pour rester en vie, mais aussi tout faire pour soigner leur cote de popularité ! D’autant plus qu’aux yeux du monde, il semblerait que ce soit eux les méchants de l’histoire…
J’avais déjà beaucoup aimé les deux premiers tomes, il fallait que je continue vite cette série.
Après un prologue très rapide sur l’enfance de Chance, on commence directement à la suite du tome 2. L’histoire s’intensifie, pleine d’action et de tensions.
On en découvre beaucoup plus sur les personnages : Ombre, Chance, Funérailles et Xiong-Mao ( quelques planches de Freak’s Squeele rouge sont présentes dans ce tome 3 d’ailleurs). Plusieurs mystères autour ces personnages étaient déjà développés dans les deux tomes précédents, quelques bribes nous sont données dans ce tome pour nous attiser encore plus et nous poser de nouvelles interrogations.
On en découvre un peu plus sur Funérailles et je pense qu’il prendra de plus en plus d’importance dans les tomes suivants (ça donne envie de lire le spin-off sur ce personnage tout ça !).
Le directeur de l’Université F.E.A.H. devient de plus en plus inquiétant, on se demande quelles sont réellement ses intentions.
Ce tome s’arrête au milieux d’une action, il nous faut tout de suite la suite (malheureusement je n’ai pas le tome 4 dans ma bibliothèque).
Bref, c’est un vrai coup de coeur pour moi. J’ai aimé le découpage et la mise en parallèle des différentes actions des personnages et la présence d’un “journal de bord” tenu par Ombre illustré par des croquis. Cela rend notre lecture très fluide et rapide.
A bientôt la suite maintenant !
Freak’s Squeele t.3 : Le tango de la mort, de Florent Maudoux
Aux éditions Ankama (label 619) en 2010
139 p.
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