Citation du Dimanche : Trois hommes dans un bateau de Jerome K. Jerome

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Pour de nombreuses personnes, demain, lundi 28 août ce sera la reprise du travail. Le jour où l’activité dans toutes les entreprises et autres services où l’activité reprendra à plein régime. C’est donc une bonne occasion pour prendre des bonnes résolutions avec cette citation de Trois hommes dans un bateau de Jerome K. Jerome.

“J’aime le travail : il me fascine. Je peux rester des heures à le regarder.”

On aimerait pouvoir divaguer nous aussi au travail, un peu comme les trois hommes, et n’oublions pas le chien, présents dans l’ouvrage écrit par Jerome K. Jerome. L’humoriste anglais raconte les aventures de George, Harris, Jérôme et le chien Montmorency. Les Trois hommes dans un bateau, et n’oublions pas le chien embarquent pour un voyage sur la Tamise. Ils embarquent à Kingston upon Thames et se rendent en barque jusqu’à Oxford.

Trois hommes dans un bateau et des railleries dans la cale

Les trois amis s’étaient retrouvés chez Jerome la veille et avaient partagés leurs petits malheurs. Les trois hommes étaient arrivés à la conclusion que c’est l’excès de travail qui les conduisaient sur une mauvaise pente. Pour y remédier, une croisière sur la Tamise semblait un remède idéal.

Leur périple est censé permettre un panorama complet sur le tourisme le long de la Tamise. Mais Jerome K. Jerome y ajoute une succession d’anecdotes qui transforment le récit en une succession de gags sur de nombreux thèmes.

Evidemment, avec un auteur anglais, les bulletins météos sont un sujet de prédilection. Mais ils ne sont pas les seuls, les fox-terriers, les boîtes de conserves qui ne se laissent pas ouvrir ou encore la vanité des chanteurs sont autant de sujets raillés avec délicatesse.

Le voyage des Trois hommes dans un bateau compte également bon nombre d’arrêts dans des pubs, histoire de reprendre quelques forces. Il faut d’ailleurs préciser que tous les pubs et tavernes citées dans l’ouvrage seraient encore ouvertes aujourd’hui.

Bref, tout cela permet de relativiser à l’aube de retourner au travail. Car finalement, doit-on vivre pour travailler ou travailler pour vivre ? Une question à laquelle c’est à chacun d’entre-nous d’apporter la réponse.