Eric Oliva est l’auteur de plusieurs roman même si Le Vase rose est le premier que je lis de lui. Eric Oliva est policier et est passionné par son métier. C’est clairement ce qu’il retransmet et cela se ressent dans la lecture de son dernier roman. Il sortira en librairie cette semaine, le 3 mai, aux éditions Taurnada.
Je remercie donc les éditions Taurnada ainsi que l’auteur pour l’envoi de ce roman avant sa sortie.
Résumé :
Et si votre pire cauchemar devenait réalité ?
Quand votre vie bascule, vous avez le choix : sombrer dans le chagrin ou tout faire pour vous relever.
Frédéric Caussois a choisi.
Pour lui, aucun compromis, il doit savoir, connaître la vérité.
Un père en quête de vérité
Frédéric Caussois va connaître l’enfer. Après avoir administré un médicament prescrit à son fils Tao, ce dernier meurt en quelques secondes sous ses yeux, impuissant… Empoisonné à l’arsenic mystérieusement présent dans le médicament.
Frédéric voit son monde s’écrouler petit à petit, son travail, sa femme. La police locale semble également impuissante. Il semble ne plus rien contrôler jusqu’à ce qu’il se trouve un but : découvrir qui est le coupable.
Le lecteur fait donc face, comme Frédéric, à plusieurs suspects. Certains semblent plus coupable que d’autres mais doit-on se fier aux apparences ? Eric Oliva nous balade jusqu’à la révélation finale et nous fait découvrir en peu de pages une multitude de personnage. Le père est un personnage passionnant qui se substitue à la police pour connaître la vérité sur la mort de son fils. Il se lance dans une quête et on le suit dans ses questionnements, ses doutes, ses méandres…
J’ai eu plus de difficultés avec le personnage de Linda qui reste très en surface tout au long du roman. On en sait finalement très peu sur elle et c’est assez frustrant parce qu’elle reste très présente.
C’est donc un roman policier bien construit avec des personnages qui restent crédibles. J’ai aimé le rythme de l’intrigue avec ce dénouement inattendu.
Le Vase rose, de Eric Oliva
aux éditions Taurnada (mai 2018)
232 pages
